Anaïs Berck proposait d’explorer l’idée d’une maison d’édition algolittéraire dans laquelle les auteurs seront des algorithmes, présentés avec leurs contextes et leurs codes ; et dans laquelle le contenu des livres sera défini par les arbres et la nature. En mettant l’arbre et ses représentations au centre de ses oeuvres, et en accueillant les algorithmes non pas au service d’un objectif commercial optimalisant, mais au service de la nature, les récits qui en résultent, parlent des arbres, certes, mais aussi de classification, de méthodes de standardisation, d’effets de cultures dominantes et d’histoires de colonisation.
La documentation est présentée ici: http://algoliterarypublishing.net/.
Anaïs Berck : une maison d’édition algolittéraire, était une recherche animée en compagnie de beaucoup d’algorithmes, beaucoup d’arbres différents et les êtres humains suivants : An Mertens (elle/lui), Guillaume Slizewicz (il/lui), Gijs de Heij (il/lui), Loren Britton (ils/leur), Ahnjili ZhuParris (elle/lui), Ipek Burçak (elle/lui), Gülce Padem (elle/lui), Livia Diniz (elle/lui), Isabelle Alvers (elle/lui), Mara Karagianni (iels/leur), Brendan Howell (il/lui), Doriane Timmermans (elle/lui).
La recherche en 2021-2023 est rendue possible grâce au soutien de FRArt/Art & Recherche, en collaboration avec ESA Saint-Luc Bruxelles, ESA La Cambre Bruxelles, Villa Empain, Plantentuin Meise, Bibliothèque Nationale de Belgique, Bibliothèque Nationale de France.